De la notion de propriété

Des français plus attachés à l'usage qu'à la propriété ?

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Nous mettons régulièrement à la une ce sondage qui confirme depuis quelques années déjà que 83% des français estiment plus important d'utiliser que de posséder. Il semble introduire une évolution majeure de la définition de la propriété. Nous vous invitons à relire sur ce sujet une de nos publications ici.

Dans le secteur de #l'automobile, la préférence pour #l'usage est entendue. Elle se développe considérablement dans le secteur de la #moto. Le #vélo n'est pas en reste et n'oublions pas de parler de la #tech. D'autres domaines, plus étonnant encore, émergent. C'est le cas de #l'habillement ou de façon plus général l'ensemble des métiers du #retail .

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La propriété : une terminologie en perpétuelle évolution

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Cette notion n'est  pas si figée qu'il n'y parrait. Elle appelle d'autres réflexions essentielles qui portent sur la liberté et sur l'usage. Ces thématiques évoluent dans le temps mais aussi dans l'espace, les lieux ou les cultures, les coutumes et le droit.

La série télévisée intitulée "Le Monde et sa propriété" diffusée actuellement sur Arte et notamment son premier opus pose les bases des premières réflexions de plusieurs penseurs, historiens, philosophes, économistes, juristes, chercheurs . Ce premier épisode laisse apparaitre que l'importance de l'usage sur la propriété n'est pas forcément si récente et que l'opposition de l'un et l'autre n'est pas si tranchée. Une belle analyse que nous avons eu plaisir à suivre et que nous vous invitons à regarder ici.

Ainsi, le mot propriété n'a pas la même portée qu'on soit français, anglais, kokubos, aujoud'hui ou il y a deux cent ans.

 Une question demeure ! De quelle solution informatique disposez-vous pour offrir le meilleur #financement de l'usage à vos clients ? Cette solution répond-elle aux attentes légitimes du consommateur où ne s'habille-t-elle de ses plus beaux atours pour au final le priver de sa propriété sans lui offrir un usage réel et complet et à moindre coût.
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Des loyers surprenants

Notre approche d'éditeur ne se contente pas de proposer une solution #Saas de gestion de contrats de #leasing. Elle consiste également en un travail d'amélioration continue par une veille quotidienne des technologies et  des attentes clients. Le #financement de #l'usage consiste à ne faire supporter au client que le coût de son utilisation réelle du bien choisi.

Force est de constater que certaines offres présentent  des loyers étonnamment supérieurs au coût global  de la pleine propriété sans fournir de réels services complémentaires. Heureusement elles ne sont pas majoritaires, mais la tentation de proposer des contrats dits de #location établis de façon empirique, sans tenir compte de la valeur économique finale du bien est facile et dangereuse pour celui qui y succombe. Elle risque de voir se détourner le client qui finira par comparer les propositions qu'il peut obtenir par ailleurs, et même décrédibiliser l'enseigne qui a recours à telles opérations. En d'autres termes la location oui mais pas à n'importe quel prix.
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Bien appréhender la dépréciation économique du bien à louer

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Alors comment faire nous direz-vous pour proposer un loyer au juste prix ? Il importe de bien définir la dépréciation économique de celui-ci. C'est à dire évaluer la valeur qu'aura le bien après #usage. Pour #l'automobile la démarche est connue. Elle intègre des notions de #durée et de #kilométrage en fonction de chaque bien.
Pour d'autres bien on devra retenir des notions de #durée et de cycle de recharge ou de durée et de cycle de rotation , de vol ou d'heures d'utilisation. C'est un travail rigoureux mais qui est indispensable pour évaluer le juste prix du financement à l'usage d'un bien. Encore faut-il disposer du système d'information qui permettra de l'intégrer et de le suivre dans le temps.
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