Financement #Locatif : l'option d'achat pas si optionnelle que ça !
Publié le
20/10/2022
Il y a quelques jours, faisant suite à notre sondage sur le #leasing de notre page Linkedin, nous avons entamé la rédaction de notre premier article en annonce de notre futur livre blanc sur le sujet.
Car oui répétons-le, anylease ce n’est pas seulement une solution #SaaS ultra-paramétrable de gestion de financement #locatif, c’est aussi un accompagnement unique pour booster votre business de #leasing, par une équipe spécialiste du domaine.
Notre premier article donc, mettait davantage en exergue les points de convergence entre #LOA et #LLD. Nous avions introduit la notion de financement #locatif.
Nous vous invitons à relire cet article en suivant le lien.
Nous avions énoncé également ce qui pour nous est une première différence de taille : l’option d’achat.
Financement #locatif : l'option d'achat une différence de taille !
Comme son nom l’indique la #LOA permet in fine à son client (et même en cours de contrat), de racheter le bien loué moyennant une valeur convenue d’avance. Cette valeur est souvent assez faible, 1, 3, 5 voire 15% maximum et bien inférieure au montant proposé par le marché de l’occasion.
Le locataire devient propriétaire d’un bien qu’il pourra à son tour revendre, quand il le souhaitera, à une valeur lui permettant de faire une plus-value non négligeable. C’est évidemment la raison pour laquelle la majorité des contrats en #LOA voit l’option d’achat levée, avec transfert de propriété du #leaser vers le locataire. Un mécanisme très souvent perçu comme une bonne affaire. De ce point de vue l’option n’est pas si optionnelle que ça.
En LLD, pas d'option d'achat
La Location Longue Durée ne propose pas de levée d’option d’achat. Certes il est possible de racheter le bien loué en fin de contrat au loueur mais la valeur proposée n’est pas convenue d’avance et peut-être assez élevée. Elle correspond en fait, à la valeur du marché estimée à l’origine, augmentée d’éventuelles plus-values additionnelles conjoncturelles visées par le loueur. Ce dernier cherchant à réaliser la meilleure revente, cette plus-value-additionnelle peut représenter plusieurs milliers d’euros. C’est notamment le cas actuellement, dans un contexte de crise où les délais de fabrication sont si longs qu’ils tirent le marché de l’occasion à la hausse.
On pourra s’étonner des valeurs proposées mais elles constituent la plus grande part des marges réalisées par les loueurs et compensent aussi les pertes qu’ils peuvent enregistrer sur certains produits.
2 approches financières pour des valeurs résiduelles bien différentes
La #LOA s’appuie sur des valeurs théoriques faibles (1, 3, 5 ou 15% comme vu indiqué plus haut) qui rendent ce type de financement comparable à un #crédit classique. De ce point de vue d’ailleurs, le législateur ne s’y est pas trompé puisque les opérateurs de #LOA sont assujettis à une réglementation comme celles des organismes de crédit.
La #LLD, elle, s’appuie sur des valeurs économiques d’usage bien plus élevées où le loueur tentera de faire la meilleure plus-value. Le système offrira en revanche au client un loyer moins cher ne finançant qu’une partie du bien : la valeur d’usage. La réglementation est en revanche bien plus souple pour les acteurs.
LOA ou LLD le meilleur des systèmes est...
Chacun des systèmes présente ses avantages et ses inconvénients.
Tous les deux appartiennent au secteur du financement locatif.
Pour le client, le choix, se portera bien évidemment plus volontiers sur la #LOA si l’objectif est de conserver la possibilité d’acquérir le bien in fine. Si l’objectif est d’optimiser le coût des loyers par un financement de l’usage sans acquisition finale La #LLD sera préférée. La #LLD offre aussi à son client l'avantage ne pas à s'occuper de la revente du bien et de ses nombreuses tâches administratives.
Pour l’entreprise qui souhaite développer une offre de financement locatif, la #LOA s’avère techniquement plus facile à déployer. Elle sera en revanche fortement contrainte par la réglementation. N’est pas établissement bancaire qui veut !
L’entreprise qui souhaite développer une offre de #LLD profitera d’un contexte réglementaire plus facile mais devra appréhender de nombreux aspects techniques et métiers (évaluation des valeurs résiduelles, constitution des tables de dépréciation, règles de calcul, intégration et traitement de process spécifiques).
Quoi qu’il en soit et vous l’aurez compris, qu’on soit client ou prestataire, la #LOA ou la #LLD est un choix de gestion.
Ce dernier point nous permet d’annoncer notre prochain article : LLD ou LOA un choix de gestion.
N’hésitez pas à partager cet article s’il vous a plu, et à nous contacter si vous voulez en savoir davantage sur comment anylease peut vous aider à booster votre business de #leasing.
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